Pour cette recette, il te faut (pour env. 4 personnes) :
-
Un céleri-pomme
-
Un navet
-
Un radis noir ou blanc
-
Une patate douce
-
Env. 3 cm de gingembre frais
-
250 ml de lait de coco
-
1 c.s. de pâte de curry rouge
-
200 ml de bouillon
-
1 tige de citronnelle (lemongrass)
-
1 gousse d’ail
-
2 c.c. d’huile de coco
-
2 oignons
Pour réaliser la recette :
- Éplucher et détailler les légumes en cubes grossiers
- Éplucher la gousse d’ail, les oignons et le gingembre
- Dans un bol, mélanger :
La gousse d’ail écrasée
Le gingembre écrasé
L’oignon émincé
1 c.s. de pâte de curry rouge - Dans une cocotte, faire chauffer 2 c.c. d’huile de coco, faire revenir le mélange oignon et condiments puis les légumes
- Ajouter le lait de coco, les tiges de citronnelle et un peu de bouillon pour que le liquide recouvre le contenu
- Couvrir et laisser cuire à feu doux pendant env. 35 min.
Le coin des astuces:
L’huile de coco de qualité qu’il est recommandé d\’utiliser ici est celle estampillée bio qui a le goût de coco, rien à voir donc avec la graisse de coco raffinée utilisée pour la fondue bourguignonne par exemple.
Le lait de coco qu’il est recommandé d’utiliser ici est celui avec une quantité plus importante d’eau qui comporte souvent la mention “light” sur l’emballage
Pour cette recette, il te faut (pour env. 3 personnes)
- 1 gros fenouil
- 500 g de filet de cabillaud
- 1 oignon
- 1 c.s. de pâte de curry rouge
- 250 ml de lait de coco
- 1 c.c. de ghee (=beurre clarifié)
Pour réaliser la recette
- Détailler le cabillaud en tranche d’env. 5 cm de longueur
- Rincer le fenouil et éplucher l’oignon
- Emincer finement le fenouil et l’oignon
- Dans une poêle, faire fondre le ghee et y faire dorer les tranches de cabillaud puis réserver
- Dans cette même poêle, faire suer l’oignon puis ajouter le fenouil et cuire quelques minutes avant d’ajouter la pâte de curry rouge
- Ajouter le lait de coco, couvrir et laisser mijoter à feu doux pendant env. 20 min.
- Ajouter les tranches de cabillaud et cuire encore env. 10 min.
Le coin des astuces:
Pour le poisson, il est bon de s’assurer d’un label type « MSC » par exemple en Suisse sur l’emballage qui certifie la lutte contre la surpêche